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Un sac sur le dos Un sac sur le dos
Amandine

De nos premiers pas au Cambodge (et en Asie), je vous propose un petit récapitulatif des sites à voir et des activités à faire (mais aussi celles à éviter) selon ma propre expérience.

A voir et à faire au Cambodge : ville par ville

L’intérêt de découvrir un pays par soi-même est aussi de se perdre et de sortir des points les plus touristiques. Ils restent néanmoins de bonnes bases pour se renseigner et explorer une région plus en profondeur.

Phnom Penh

A voir et à faire

Je vous renvoie pour plus de détails à l’article Que voir à Phnom Penh.

En résumé, les principaux sites et attraits de la ville sont :

Mais aussi : Tonle Bati (à 30km de Phnom Penh), qui regroupe deux temples intéressants, semble-t-il, à découvrir avant de voir ceux d’Angkor, la réserve animalière de Phnom Tamao (10km), le parc national de Kirorom (mi-distance entre Phnom Penh et Sihanoukville, 2h de trajet).

A éviter

Le palais Royal et sa Pagode d’argent. S’il n’est pas à fuir comme la peste, ce n’est néanmoins pas un lieu à mettre dans le haut de votre liste de visites à faire dans la capitale.

Depuis Phnom Penh

La circulation du pays est un peu en étoile, Phnom Penh étant le centre : tous les chemins mènent à Phnom Penh !
Ainsi, nous avons distillé les visites dans la capitale à chacun de nos retours, afin d’avoir toujours un intérêt à y retourner.

Kompong Thom

Ville située entre Phnom Penh et Angkor, à peu près à mi-distance de ces deux pôles du pays, Kompong Thom est relativement peu fréquentée des touristes et sert plus de station d’arrêt. Pourtant, plusieurs sites méritent de séjourner 1 jour ou 2 dans cette ville.

A voir et à faire

Temple de Sambor Prei Kuk :

Sambor Prei Kuk, Kompong Thom, Cambodge
Coucher de soleil sur un temple de Sambor Prei Kuk

Cet ensemble de temples et ruines est assez loin de tout, peu fréquenté par les touristes et donc très calme.

Petit conseil (valable pour tous les temples dans la jungle) : prévoyez un répulsif anti-moustique et des vêtements longs si vous vous y rendez en après-midi ou fin de journée : le soleil baisse vite et les moustiques s’éveillent alors rapidement pour attaquer !

En pratique : Prix : 3$ (+ 2.000 riel de parking) Trajet : environ 30km de Kompong Thom, 10$ en moto-dop (A-R), 15$ en tuk-tuk.

Temple de Phnom Santuk

Pour atteindre ce lieu de pèlerinage populaire perché sur la plus importante des montagnes sacrées de la région (207m), il faut gravir les 809 marches qui mènent aux temples. Il est possible d’éviter les marches via une route asphaltée, mais l’expédition perdrait tout son charme, surtout que ce chemin dans le bel escalier offre une très belle vue sur la forêt environnante et les singes qui la gardent.

En pratique : Prix : 2$ Trajet : environ 20km de Kompong Thom, 6$ en moto-dop (A-R), 15$ en tuk-tuk pour un trajet combiné avec la magnanerie.

Visiter une ferme de vers à soie : la magnanerie de Santuk

Curieuse d’en savoir plus sur le procédé de tissage, depuis le ver jusqu’à l’étole de soie, nous sommes allés visiter une magnanerie du côté de Kompong Thom (Santuk).
D’autant plus que la soie cambodgienne est réputée : si les vers khmers ne sont pas aussi productifs que leurs voisins chinois, ils fournissent néanmoins une soie d’une belle qualité, surnommée la « soie khmère dorée ».

Expérience intéressante qui nous a permis de discuter avec Budd Gibbons, un Américain retraité ayant épousé une cambodgienne, qui a créé sa ferme, se détachant des ONG après des déboires dont il parle assez ouvertement. Tant le côté technique qu’humain nous a été présenté par ce passionné. La visite se termine en beauté avec un buffet khmer cuisiné par sa femme : un régal !

En pratique : Prix : la visite est gratuite. Possibilité d’acheter une étole à partir de 15$ et de manger sur place pour 5$ Trajet : située quasiment en face du chemin vers les temples de Phnom Santuk.
En pratique Expédition depuis Kompong Thom (environ 20km ) qui peut combiner :
  • le village de Kakaoh, réputé pour ses tailleurs de pierre qui créent les statues de Bouddha et autres à un rythme effréné
  • la magnanerie
  • Sambor Prei Kuk
Compter une demi-journée pour l’excursion (et 15$ pour un tuk-tuk), avec possibilité de manger un repas typique khmer à la magnanerie (5$).

Voir l’envol des chauves-souris

Se promener le long de la rivière au derniers rayons du soleil est très agréable : une promenade est bien aménagée et fréquentée par les enfants jouant dans la rue, les hommes au dacau (sorte de badminton avec les pieds) et les femmes faisant leur jogging en groupe. C’est aussi l’occasion d’aller observer l’envol des chauves-souris à la tombée de la nuit : des centaines de chauves-souris quittent leurs énormes arbres (près de l’ancienne résidence du gouverneur français, à 500m du pont).

Preah Khan

Assez éloigné de Kompong Thom (proche du village de Ta Seng), ce site est difficile d’accès (vu le mauvais état des routes) et est également un des plus beaux que nous ayons vu. Pour s’y rendre, pas de bus, pas de tour organisé (ou très rare et difficile à trouver) : les chauffeurs proposent un trajet privé en tuk-tuk ou en voiture, la seconde option étant la plus réaliste et la plus confortable !

Le lieu étant encore plus difficile d’accès à la saison des pluies, la meilleur époque pour le visiter est de décembre à avril.

En pratique : Prix : 5$ Trajet : depuis Kompong Thom : 2h en voiture.

A éviter

Evitez de partir en expédition en tuk-tuk sur de trop longues distances : avec la poussière et l’état des routes, c’est assez fatiguant ! Et dire que nous avions trouvé un chauffeur qui nous proposait un circuit de 5 jours en tuk-tuk dans la jungle :  toute une aventure (que nous sommes contents d’avoir évitée !).

Les bonnes adresses

Nous étions logé au Arunras Hotel : point névralgique de la vie touristique dans cette ville. Plusieurs formules et tarifs sont proposés (8$ sans airco, 15$ avec). Petit conseil : éviter le 4e étage : car à l’étage supérieur se trouve un karaoké.

Pour se restaurer, l’hôtel propose une cafétéria et un restaurant, son personnel passant de l’un à l’autre. Les marchés et stands de rue la nuit proposent aussi une nourriture locale à un très bon rapport qualité prix.

Depuis Kompong Thom

Située entre Siem Reap et Phnom Penh, comptez 3h pour joindre une de ces villes avec un bon mini-bus et le double avec un mauvais bus ! Nous avons testé les deux, la différence est juste sidérante !

Entre Phnom Penh et Kompong Thom se trouve le temple de Prasat Kuha Nokor (environ 70 km de Kompong Thom).

Depuis Kompong Thom, vous pouvez également relier Sra’Em, plus facilement que depuis Siem Reap. Vous pouvez le faire en bus ou avec une voiture privée qui vous emmènera faire le tour des temples perdus dans la jungle, difficilement atteignables sinon.

Sra’Em

A voir et à faire

Sra’Em n’a pas d’intérêt en soit, si ce n’est pour sa situation aux pieds de la montagne abritant le temple de Preah Vihear.
Preah Vihear : J’ai déjà parlé de ce temple dans l’article dédié aux temples éloignés ; c’est l’un de mes préférés ! La vue depuis les hauteurs de ce temple perché sur la colline vaut la peine (surtout dans ce pays fort plat et boisé : une vue aérienne dégagée donne une toute autre ambiance).

Les bonnes adresses

Nous avons logé à Sra’Em à la Sok San Guesthouse.
L’hôtel est un peu décentré mais propose un restaurant. Seul le gérant parle anglais, cela demande parfois beaucoup de patience pour arriver à ses fins à la réception ou au restaurant, mais on y arrive toujours !

Depuis Sra’Em

On atteint cette ville principalement par deux routes : depuis Kompong Thom (1 petite journée de bus), en passant par la capitale de la région (Tbeng Meanchey aussi appelée Sra’Em : bonjour la confusion !) ou depuis Siem Reap.

Koh Ker

Située au milieu de nulle part dans le Nord-Ouest du Cambodge, entre les villes de Kulen et Srayong, la cité de temples de Koh Ker mérite le détour. Ce site est tout simplement gigantesque : 42 temples répartis sur un terrain de 9km sur 4km. Pour en savoir plus : lire l’article sur les temples éloignés.

Petit conseil : ne pas s’éloigner pas des sentiers. Des panneaux annonçant le déminage de la zone se trouvent devant chaque temple, mais on ne sait jamais …

 En pratique : Prix : 10$ Trajet : une centaine de kilomètre sépare Koh Ker de Sra’Em comme de Siem Reap. Depuis Sra’Em, nous avons pu visiter les deux sites sur la même journée, partant très tôt pour l’ascension de Preah Vihear et terminant à Koh Ker le tour des temples en fin de journée.

Les bonnes adresses

Nous avons logé dans l’hôtel qui se trouve à l’orée des bois et des temples : Mom Moroko Koh Ker Guesthouse. Le confort « moderne » est rudimentaire : l’accès à l’électricité et l’eau courante n’étant possible qu’en soirée, lorsque le générateur est enclenché. Par contre, nous avons apprécié le calme de cette pension reculée des villes : seuls les animaux se sont faits entendre.
L’hôtel propose un restaurant très familial, où l’on ne sert qu’aux heures des repas et parfois uniquement vêtu d’un serviette de bain. Nous avons passé une très bonne soirée à regarder une comédie khmère sur les mauvais esprits avec les enfants et les locaux : fous rires garantis.

Depuis Koh Ker

Depuis Siem Reap, aucun transport public ne dessert Koh Ker, mais il est possible de louer une voiture pour une journée (80$), de trouver des taxis collectifs pour Srayong ou de contracter un tour avec une agence.
Siem Reap est d’abord connue pour les temples d’Angkor, fierté nationale que l’on retrouve d’ailleurs sur le drapeau cambodgien. Pour profiter de la visite au maximum, voici quelques petits conseils :

 En pratique : Pass 1 journée :  20 USD ; 3 jours : 40 USD; 7 jours : 60 USD

Siem Reap

A voir et à faire

Pour plus d’informations concernant la « capitale touristique » du pays, je vous renvoie vers l’article Cambodge : que faire à Siem Reap en dehors d’Angkor.

En résumé, les principaux sites et attraits de la ville de Siem Reap et des environs sont nombreux : musée national d’Angkor, lieux commémorant les atrocités liées au Khmers Rouges, cours de cuisine khmère, sanctuaire d’oiseaux Prek Toal, spectacle d’asparas ou de cirque acrobatique, marchés, Khmer Ceramic Center… et je conseille tout particulièrement de louer un vélo et de partir explorer les environs hors des sentiers battus.

A éviter

Les bonnes adresses

Pour nos bonnes adresses logement et restaurants, référez-vous à l’article sur Siem Reap.

Depuis Siem Reap

Kratie

A voir et à faire

A éviter

Même si le tour pour voir les dauphins du Mékong est l’attraction de la région, je vous déconseille de succomber à la tentation. Les dauphins sont traqués par des pirogues à moteur conduites par des locaux désireux de satisfaire les touristes, l’appareil photo prêt à mitrailler : ils éteignent et rallument le moteur toutes les 2 secondes, afin de rester au plus près de dauphins, entrant en compétition entre bateaux à qui sera le mieux positionné … Très décevant (pas vu grand chose) et plutôt inconfortable sur notre plan éthique.

 En pratique : Prix : 9$/personne à 2 et 7$ à partir de 3 personnes Trajet : la ville réputée pour ce genre de tour est Kampi (15 km de Kratie) : 10$ en tuk-tuk (5 $ en moto-dop).

Depuis Kratie

Située à 250km de Phnom Penh, il faut compter 7-8 heures en bus (et 4-5h en minivan).

Sen Monorom

A voir et à faire

Capitale de la province du Mondolkiri, cette ville est une grosse bourgade poussiéreuse. J’ai appris avec amusement qu’elle était surnommée (un peu abusivement ?) « la Suisse du Cambodge » … Justification : il y a deux lacs et la région est vallonée !

François étant devenu très faible suite à sa maladie, nous n’avons pour ainsi dire rien vu d’autres que la clinique de la ville.

La région est célèbre pour ses villages de « minorités », ses cascades et ses éléphants. La randonnée dans la jungle avec un guide revient à 30$ (avec possibilité de loger en fin de journée dans un village reculé de « minorités ») et l’excursion avec éléphants à 25$.

L’Elephant Valley Project présente une alternative aux balades classiques : le touriste ici ne monte pas sur ces éléphants, rescapés des affres de l’exploitation touristique. Seul bémol à cette belle initiative : les locaux ne voient pas d’un bon oeil le travail de cette ONG. S’ils en comprennent l’intérêt les valeurs qui sous-tendent le projet, ils déplorent le peu d’échange avec les locaux et l’impossibilité de nouer un partenariat, les cambodgiens se faisant ainsi écarter du projet.

Les bonnes adresses

Nous étions logés au Long Vibol Guesthouse, un peu décentré mais très agréable.
Avec ces petits bungalows en bois rassemblés autour d’un jardin vert et paisible, ce véritable havre de paix offre une sensation de détente et de fraîcheur en comparaison à ces villes poussiéreuses et animées. Le propriétaire, ancien guide réputé, organise encore des tours (même s’il ne les conduit plus) et est une très bonne source d’informations sur la région.
Le service y est impeccable, le gérant et son personnel sont dévoués, sympathiques et ont été d’une grande aide quand François a du être transporté à la clinique.
Le restaurant de l’hôtel est un peu cher (prix « touristiques ») mais très bon.

Depuis Sen Monorom

Depuis Kratie, seuls des minibus locaux relient Sen Monorom. Le trajet nous a semblé très long : 5 heures, beaucoup d’arrêts, route chaotique.

Des bus relient Phnom Penh et Sen Monorom. Nous avons pris un minibus avec places numérotées pour le retour (quel luxe : « que » 14 personnes, mais sans compter les enfants) : départ tous les matins, pour une durée de 5-6 heures.

Vaste pays …

Un mois ne nous a pas été suffisant pour voir ce grand pays ! Nous avons privilégié la qualité plutôt que la quantité, le plaisir de voir plutôt que la nécessité de faire, et ainsi de laisser pour un prochain voyage certaines région du pays.

Les autres grands points d’intérêt du Cambodge sont :

Rattanakiri

Dans la partie Nord Ouest, nous n’avons pas poussé jusqu’à la province de Rattanakiri, réputée pour sa jungle luxuriante et la beauté de ses site naturels, où vivent plusieurs minorités.

Battambang et le côté Sud du Tonlé Sap

Nous n’avons vu du Tonlé Sap que son côté Nord (en reliant Phnom Penh et Siem Reap via Kompong Thom) ; la rive Sud étant réputée plus jolie. Nous avons également manqué Battambang qui est, paraît-il, une jolie ville.

La côte : Sihanoukville, Kampot et Kep

Nous ne sommes pas allés dans le Sud ni sur la côte : nous voulions éviter Sihanoukville suite au retours assez négatifs (tant sur la beauté des lieux que sur la sécurité), mais désirions voir Kampot et Kep.

Bilan du Cambodge : un voyage qui reste sur sa faim !

A la question « combien de temps faut-il prévoir idéalement pour visiter le Cambodge », il m’est impossible de donner une réponse directe ! Clairement, un mois n’a pas été suffisant pour voir ce que nous voulions (la maladie de François n’a pas aidé, bien sûr, mais même sans cela il nous fallait faire des choix et donc renoncer à « tout voir »). Je dirais que deux semaines de plus aurait été les bienvenues !

Pour planifier son voyage au Cambodge, le choix de la saison est également crucial, car tant le paysage que l’ambiance ne seront pas les mêmes à la saison des pluies ou à la saison sèche (chaleur et météo mais aussi fréquentation touristique, végétation, moustiques…). Pour plus d’informations techniques, je vous invite à lire la fiche d’informations pratiques sur le Cambodge.

Avez-vous déjà été au Cambodge ? Des conseils et expériences à partager ?

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44 réponses à “Bilan du Cambodge : à voir et à faire”

  1. Tu as vu pas mal de choses que j’avais zappé lors de mon séjour, notamment au niveau des temples !

    Je suis entièrement d’accord avec toi pour les dauphins de Kratie, cela n’est vraiment pas intéressant. Tu n’a pas eu l’opportunité de Battamrang, et pour être honnête, j’avais été un peu déçu. La ville est jolie mais assez petite. On en fait très vite le tour, et il n’y a pas grand chose d’autre à voir.

    • Merci Chris pour ton commentaire,

      Les temples éloignés, c’est vraiment ce que j’avais préféré (pour ne pas remuer le couteau dans la plaie ! 😉 ) – si tu as l’occasion et l’envie de découvrir ce genre de temples, je ne peux que te le conseiller ! J’ai dédié un article aux temples éloignés si tu veux en savoir plus …

      je vois que nous partageons le même avis sur le tourisme autour des dauphins de Kratie : autant en parler un maximum pour diminuer les dégâts et sensibiliser les voyageurs.

      Battambang, j’en ai eu des retours assez différents et assez nuancés : petite ville jolie (mais petite), pont reconstruit chaque année, le Battambang Railway/Bamboo train, usine désaffectée, … J’aurais aimé me faire une idée par moi-même, mais ce sera sans doute pour une prochaine fois 😉

      • Le bamboo train, c’est marrant, mais en même temps très touristique. Ça fait passer un bon moment, mais ce n’est clairement pas quelques chose d’inoubliable, qui justifie de visiter un lieu…
        Ça permet quand même de faire quelques photos sympa !

      • Pour Battambang, il ne faut pas oublier le cirque Phare, ainsi que les alentours qui valent le coup : la campagne est superbe. On trouve aussi quelques jolis temples, une grotte historique oú de nombreux meurtres ont eu lieux du temps de Pol Pot, une autre grotte avec des milliers de chauves souris qui s’envolent chaque jour en fin d’après midi et le seul vignoble du pays qui produit un vin … intéressant. Ce sera pour la prochaine fois Amandine ! Lire cet article me donne envie de repartir vadrouiller dans les provinces du pays tout de suite maintenant.

      • Salut Tugdual,
        merci pour ton commentaire et ton complément d’informations ; c’est sûr que c’est un pays sur lequel tu as beaucoup à dire et que tu connaîtras de mieux en mieux 😉

        Contente que mon article t’inspire des envies d’évasions et de vadrouilles ! 😉
        Profite bien (en espérant que tu résistes à la chaleur ! 😉 ).

  2. J’aime beaucoup ton article, qui est vraiment très complet.

    Je suis allée trois fois au Cambodge, et c’est vrai qu’il y a beaucoup à voir et qu’il faut prendre son temps. je confirme , Battambang et la région tout autour, c’est très sympa et certains coins sont peu fréquentés encore (2012) . Les habitants sont extrêmement, accueillants et ravis d’échanger avec des tourismes qui ONT LE TEMPS.

    • Merci Danielle pour ton retour et ton partage d’expérience, c’est toujours intéressant d’avoir le vécu d’autres voyageurs via le « bouche à oreille » pour étayer les infos piochées à gauche à droite.

      C’est sur que l’attitude du voyageur va changer en fonction de s’il a (ou s’il se donne) le temps, et du coup cela changera aussi son rapport aux locaux et induira un changement également dans l’accueil que les locaux peuvent lui faire.

  3. Tout d’abord un grand bravo pour ton article, il est ultra complet et détaillé cela demande énormément de travail donc je tenais vraiment à te féliciter !! Il y a vraiment tout pour bien préparer son voyage : les prix, les conseils, ce qu’il faut éviter vraiment chapeau !

    Et merci aussi car le Cambodge fait partie de mes rêves et maintenant j’ai une idée plus précise des endroits à voir et des choses à éviter que j’aurais pu avoir envie de faire lol Je garde surtout en mémoire le coup de l’hélicoptère, je suis une grande fan et j’avais adoré le faire en Australie mais de ce que tu dis ça ne vaut vraiment pas le coup :/

    Etant en Inde cet été je me demande encore ce que je vais faire après le cambodge reste en tête 😉

    encore bravo pour ton article 🙂

    • Un grand merci Hanae pour ton commentaire, il me fait très plaisir, car oui : c’est un article qui m’a demandé pas mal de travail !

      Cela me fait plaisir de voir tes « cogitations pré-voyage » 😉
      Ce qui m’a fait choisir le Cambodge parmi tous ces pays voisins, et comme première expérience en Asie, c’est Angkor.
      Après-coup, je me rends comtpe que c’était « une mauvaise motivation » (j’en attendais trop, j’ai été déçue) mais les autres (nombreux) aspects de ce pays méritent le détour tout autant, si pas plus, et il y a beaucoup d’autres temples intéressants à explorer !

      Ha l’Inde, je pense que tu avs en avoir plein les yeux ! Impatiente de suivre tes aventures ! 😉

  4. C’est sympa de partager les lieux à éviter. Les prix ont l’air assez bas. Quel est ton meilleur souvenir de ce voyage au Cambodge?

    • Mon meilleur souvenir du Cambodge ? C’est toujours une question délicate, difficile de répondre …
      J’ai deux qui me viennent en tête (je triche un peu, je ne choisi pas entre les deux lequel est mon préféré ! 😉 :

      – les balades à vélo du côté de Siem Reap : mais la rencontre avec nos nouveaux amis voyageurs à vélo y est pour beaucoup aussi ;

      – les visites des temples éloignés, avec mention spéciale pour Beng Mealea !

  5. Franchement félicitation pour cet article, on sort du Cambodge et pour certaines destinations il nous aurait était utile.

    On a vraiment aimé Kratié, notamment le fait de prendre un vélo et de se rendre sur Ko Phdao dormir chez l’habitant, malheureusement j’ai attrapé la dengue et on a pas pu nous rendre dans le Rattnakiri. Autre endroit que j’ai aimé, toujours hors des sentiers battus, le village de Banteay Chmar au nord-ouest à nouveau une bonne expérience dans une communauté locale.

    On a bien aimé Kampot, mais nous n’y sommes pas restés assez longtemps à mon goût, par contre, moins enchantés par Battambang.

    On partagera ce séjour dans les semaines qui viennent sur notre carnet voyage, pour l’instant on profite du voyage 🙂

    • Merci RoutardSpirit pour votre retour, cela me fait très plaisir, surtout venant de voyageurs qui connaissent le pays 😉
      Merci pour les conseils, ça à l’air super, je garde ça pour une prochaine fois, on ne sait jamais ;)

      Je vois que François n’est pas le seul à être tombé malade au Cambodge ! La dengue ? Courage, j’espère que tu es rétablis ou en bonne voie de guérison. Profitez-bien et au plaisir de lire vos aventures cambodgiennes 😉

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