Après une semaine de suspense intense, voici la suite des aventures dans le désert de sel : Uyuni II, le retour !
Précédemment dans le Salar : des lamas moqueurs, des marais enchantés, un village fantôme, des villageois fêtards, de la boue bouillante et des lagunes multicolores !
Après deux jours de voyage à bord du 4X4, nous touchons au but et arrivons aux abords du plus grand désert de sel du monde : le Salar d’Uyuni.
L’arbre de pierre
La journée suivante commence aux aurores, avec un magnifique lever de soleil et un lama enguirlandé traversant la route l’air hagard, après une nuit de festivités bien arrosée.
Notre premier arrêt de la journée, en quittant la Laguna Colorada : l’Arbol de Piedra. Résultat de l’érosion sur une pierre volcanique, cet arbre de pierre est l’une de nos plus belles photos souvenirs du tour. Les couleurs et les tons pastel me ramènent au Désert de Dali, traversé la veille.
Nous nous apprêtons à repartir, mais il manque quelqu’un… nous retrouvons notre (taré) de guide perché dans les hauteurs, jouant à l’équilibriste.
Un volcan indien
En remontant la cordillère des Andes, nous admirons des lagunes et des dizaines de volcans, tous plus hauts les uns que les autres, dont certains atteignant plus de 6.800 mètres !
Le paysage change et ce sont des vagues figées en plein mouvement qui nous font face. Il s’agit de coulées de lave, provenant du volcan Ollagüe, toujours en activité. Nous observons de petits nuages blancs s’échapper régulièrement de son sommet… du côté chilien, comme le souligne notre guide bolivien. En effet, ce volcan se trouve sur la frontière Chili-Bolivie. Ces légers nuages flottant au-dessus du sommet me font penser à des appels de fumée indiens…
Mais je me demande alors, à qui sont destinés ces messages ?
Ce site de vagues pétrifiées a quelque chose de surréaliste et dégage une ambiance très particulière. Des ossements ont, par ailleurs, été découverts sur ce site, sans doute ceux d’une baleine, mais aucune fouille n’a été réalisée. La Bolivie ne soigne pas son histoire et ne possède aucun budget pour étudier les vestiges qui pullulent pourtant. Alors « on donne un coup de pied dedans et on ferme les yeux », c’est ainsi que font les Boliviens. Quand on sait que son voisin, le Pérou, possède une si grande richesse culturelle et historique, c’est une tragédie pour l’histoire de l’Humanité que de voir ces traces de notre passé bafouées… Mais la Bolivie, pays se classant parmi les plus pauvres de la planète, a bien d’autres sujets de préoccupation…
Malgré tout, je ne peux m’empêcher de penser qu’une attention aux vestiges historiques, à l’éducation et au tourisme ne pourrait qu’apporter un élan positif pour ce pays, considéré comme très beau pour ses paysages variés, mais sans grand intérêt archéologique.
C’est pourtant dans l’un de ses petits musées, à Cochabamba, que nous avons pu observer un des plus vieux fossiles d’animaux sur Terre.
Et autre exemple, toujours lors de ce tour d’Uyuni, notre guide nous a fait descendre à un endroit où, a priori, il ne semblait rien y avoir… Mais avec un peu d’attention, l’on pouvait discerner des trous dans le flan de la montagne. Ces trous sont en réalité des grottes creusées et aménagées par l’homme. Jamais elles n’ont fait l’objet de fouilles archéologiques, impossible donc de les dater avec certitude.
Mais je m’éloigne du sujet salé qui nous occupe, emportée par les vagues …
Nous reprenons la route et marquons un arrêt dans un petit village. Les rues sont désertes… Mais où sont-ils tous passés ?
Encore un village fantôme ?
Le mystère est vite résolu, grâce à un indice de taille : le son des tambours rythmant les festivités locales. Mais bien sûr : c’est le dernier jour de carnaval. De plus, nous l’apprenons de la bouche du vendeur du coin, puni tout seul à garder son magasin, c’est aussi le jour de la fête du village ! Bref, tout le monde danse et surtout, tout le monde boit !
Notre char de carnaval, alias notre véhicule tout-terrain, repartira décoré et béni de bière versée sur ses pneus, en l’honneur de la Pacha Mama (la Terre-Mère).
En pâte à sel
Enfin, nous arrivons à la frontière de ce désert insolite, entièrement composé de sel.
Comment du sel se retrouve-t-il au plein milieu des plateaux andins ? Sa formation, remontant à environ 40.000 ans, proviendrait d’un lac préhistorique géant, le Lago Minchin. Avec 12.000 km² de superficie, le Salar d’Uyuni est le plus grand désert de sel du monde, largement devant le Salt Lake City (4.000 km²) et celui du désert d’Atacama (3.000 km²).
Cette nuit-là, ce n’est pas dans une maison de pain d’épice que nous logeons, mais bien dans une maison en sel : les murs, les tables et chaises, les lits… tout est en sel ! Hansel et Gretel n’ont qu’à bien se tenir !
Nous échangeons quelques mots avec la maîtresse de maison, complètement saoule en cette période de carnaval interminable : elle nous parle de la construction de cet hôtel, de ce qu’il lui a coûté, de la vie qu’elle mène ici, de sa position de femme… Une conversation libérée qui n’aurait sans doute jamais pris cette tournure sans les quelques bières ingurgités.
Comme à son habitude, la cuisinière qui nous accompagne nous confectionne un repas revigorant : une soupe de mani (bienvenue en Bolivie !) et des pâtes. Seul détail, la Canadienne avait bien précisé qu’elle était allergique au blé.
« Mais ce n’est pas du blé, répond la cuisinière de bonne foi, ce sont des pâtes ! »
« Oui, mais d’où viennent les pâtes ? »
… Question qui, apparemment, n’avait jamais préoccupé notre cuisinière !
Le désert de sel
Levés aux petites heures après une courte nuit, vu l’état d’excitation dans lequel nous étions tous de nous savoir si près du but, nous pénétrons dans le Salar, afin d’aller observer le lever du soleil.
Le spectacle nous enchante : après une froide attente, les teintes se mettent à varier, et d’un noir profond, des pointes orangées émergent peu à peu. Alors que nous assistons au spectacle splendide du lever de l’astre, un étrange calme s’empare du groupe, pourtant si excité quelques heures auparavant.
- Lever de soleil sur le désert de sel d’Uyuni
Nous progressons ensuite sur ce sol de sel, intrigués, mais quelque peu soucieux : pas une goutte de pluie n’est tombée ces derniers jours, le salar est propre et sec comme en plein été.
Allons-nous pouvoir vivre l’expérience du désert mouillé ?
Il a enfin plu cette nuit, pour la première fois depuis des semaines, mais est-ce que ce sera suffisant ?…
Corail et cactus
Quelques îles peuplent le Salar, comme échouées dans cet océan blanc, telle l’île d’Incahuasi, appelée également Isla del Pescado ou, à tort, Isla de los Pescadores. D’origine coralique, cet îlot regorge de cactus. Le plus ancien d’entre eux qui est encore en vie à plus de 900 ans, et le plus ancien, toujours visible, mais mort depuis décembre 2007, est âgé de plus de 1.200 ans !
Entre deux ciels
Enfin, nous atteignons une zone humide du désert : le spectacle que nous attendions avec impatience s’offre alors à nos yeux ébahis.
Nous sortons et nous promenons autour du véhicule, sans trop nous éloigner, comme si nous pouvions nous faire emporter dans ce paysage sans limites et perdre nos repères. L’illusion de marcher sur le ciel est grisante, et nous passons quelques instants en nous amusant à figer sur pellicule la magie du moment.
Notre guide nous réserve encore une surprise : la pêche aux cristaux de sel. Telles des pierres précieuses, ces petits cristaux affichent différentes couleurs, selon les couches géologiques dont ils proviennent.
Dernier arrêt au Salar : le petit musée… en sel (encore !), où nous apprenons, drapeau à l’appui, que tous les peuples andins ne sont pas gays.
Retombée du ciel : direct au cimetière
Notre tour du Salar s’achève, nous arrivons dans la ville d’Uyuni, qui regorge de touristes qui partent ou reviennent du désert. La seule curiosité de cette petite ville onéreuse, aux airs artificiels et sans grand intérêt, est le cimetière des trains.
Autant dire que cette partie du tour est plus qu’inutile, sauf si vous souhaitez vous offrir le spectacle de carcasses calcinées de trains dans un dépotoir d’ordures, le tout surpeuplé de touristes.
Le Salar Uyuni en pratique
Départ du tour depuis Tupiza, avec l’agence Alexandra Tours : moins chère que beaucoup d’autres agences que nous avons visitées, avec un personnel sympa et compétent ainsi qu’un bon véhicule : je la recommande !
Mais des tours pour Uyuni s’organisent depuis plusieurs villes : Oruro, La Paz, … Uyuni !
La bonne période pour y aller est vers la fin de la saison des pluies. L’été, vous n’aurez pas d’eau pour créer cette illusion d’être entre deux ciels ; et au plus haut de la saison des pluies, qui s’étend de janvier à mars, vous risquez d’en avoir un peu trop !
Les étapes de Tupiza à Uyuni :
- les villages andins du Sud Lipez et leurs lamas
- le village fantôme de San Antonio (Viejo)
- les lagunes aux flamants roses
- les sources chaudes d’Aguas Calientes
- le désert de Dali
- la lagune verte
- les geysers de boue
- les lagunes colorées
- l’arbre de pierre
- le volcan Ollagüe et les vagues de lave
- l’hôtel de sel
- le Salar en tant que tel
- l’île des cactus
- le musée de sel
- le cimetière de train
Mes conseils :
- Comparez bien les agences, les tarifs, les véhicules, le programme, la philosophie (se lever plus tôt pour bénéficier des lieux déserts… ).
- Attention à la batterie de l’appareil photo: vous aurez peu l’occasion de la charger, donc n’abusez pas de la gâchette !
- La lampe torche est un bon investissement, surtout pour l’étape de la nuit dans les Andes, dans un logement rustique où l’électricité est un luxe.
- Prévoyez un bon pull … voire deux : les nuits sont froides dans les hauteurs andines, même en été.
- Munissez-vous de lunettes de soleil : avec la réflexion de la lumière sur le sol blanc, ça brûle !
- Emportez votre papier toilette !
- Si possible ayez votre musique et vos écouteurs sous la main : la musique permet de s’isoler un petit peu de cette collectivité permanente.
- Ne restez pas trop longtemps à Uyuni à la fin/au début de votre tour : ville sans grand intérêt et plus chère que les autres villes boliviennes.
Uyuni, un des plus beaux souvenirs de voyage !
De tous nos voyages à travers le monde, de tous les paysages que nous avons eu la chance d’admirer, ceux du Salar d’Uyuni restent parmi mes préférés !
Un jour nous y retournerons peut-être…
Tu as tellement raison pour ce qui concerne l’égard aux vestiges, l’éducation, etc… Mais en meme temps, comme tu dis, vu leur pauvreté, ils ont d’autres préoccupations. Ou du moins ils considèrent en avoir d’autres. Un beau gachis mais c’est ainsi.
Comme toujours, des photos époustouflantes qui font du bien quand on a envie encore et toujours d’évasion et de découverte. ^_^
Félicitations pour la grosse Une de GEO, waouh! 😀
Merci Cindy de me l’avoir fait remarquer ! Je n’aurai peut-être jamais vuque mon article est en première page ! Une première pour moi (dans tous les sens 😉 !).
Le manque d’éducation et de volonté de préservation des traces historiques est réellement déplorable.
Cette réflexion est valable aussi pour la préservation de la nature et l’éducation écologique : beaucoup de boliviens (mais cela ne se limite pas à eux) ne se rendent pas compte du temps qu’il faut, par exemple, à la décomposition du plastique … C’est désolant.
Bravo pour ces deux articles enchanteurs ! J’ai voyagé avec vous l’espace d’un instant et ça confirme la place du Salar d’Uyuni dans ma listes de choses à faire dans ma vie ! Magnifiques photos également, je vais dévorer ce blog avec bcp de plaisir je sens !
Merci Flifounette pour cette myriade de compliments ! 🙂 Cela me fait plaisir (bien sûr) et surtout m’encourage énormément à continuer dans cette voie !
Le Salar d’Uyuni, comme tu l’as compris, m’a entièrement séduite !
Ce désert de sel est tout à fait surprenant je trouve… Quant aux problèmes d’éducation et de respect de la nature, du patrimoine, des vestiges, je te rejoins tout à fait… mais pour l’instant, c’est un luxe qu’ils ne peuvent pas s’offrir, ou qu’ils ne veulent pas s’offrir…
J’en reviens justement moi aussi, et revois avec plaisir ces paysages familiers, merci
Merci pour ton commentaire Fanny, ravie d’avoir pu te permettre de replonger au coeur de ce magnifique désert au travers des photos 😉
Oh !!! Les photos, et plus particulièremet celle où vous marchez sur le ciel, sont exceptionnelles ! Quelle lumière !
Pour ce qui est du manque de respect de l’environnement… malheureusement je crois que ce phénomène prend de l’ampleur partout…. 🙁
Merci Nath’, c’est en effet un lieu surréaliste, et la lumière jouant dans les reflets augmente le côté magique !
Oui, malheureusement, les problèmes de respect de l’environnement ne se limitent pas à la Bolivie … Pour beaucoup la culture locale, les lois et l’éducation influencent l’attitude des gens sur ce sujet : on ne voit jamais un papier par terre en Suisse, là où, en Bolivie, il est naturel de se débarraser des emballages de son snack directement depuis la fenêtre du bus … La première fois que j’ai vu ça, j’ai vraiment halluciné !
Ahhhh, les chanceux, vous avez eu un peu de pluie pour faire du Salar un miroir! 🙂 J’ai adoré mon expérience, mais j’ai trouvé que la portion Salar sur mes 3 jours de 4×4 était trop courte!
Salut Jennifer,
Oui, nous avons eu beaucoup de chance d’avoir de l’eau dans le Salar ! Comme tu l’as vu, il s’en est fallu de peu !
Quel tour as-tu fait pendant tes trois jours ? Es-tu passée par la région Sud Lipez ?
Dans cet article-ci, je parle des 2 derniers jours du tour, mais les deux premiers jours, avec les lagunes, le désert de Dali, … m’ont énormément plu également. Je suis vraiment contente d’avoir pu voir la région du Salar de façon plus vaste que juste le désert de sel en tant que tel (même si c’est pour lui que je venais à la base) : c’est une région magnifique et tellement variée !
Nous avons fait le tour de 3 jours au départ et retour d’Uyuni.
Nous avons commencé par le cimetière et la Salar, ce que je garderais pour en dernier si c’était à refaire, mais j’ai adoré le passage par les lagunes colorées, l’île aux cactus, les thermes, etc. Vraiment un endroit à voir !
Quelle chance d’avoir eu le salar humide! 🙂
On y retournerai bien juste pour ça!
Par contre, pour nous le cimetière de trains était très photogénique!
Oui, effectivement, on a eu beaucoup de chance, et comme je le raconte dans l’article, cela c’est joué à très peu !
Pourtant, nous avions choisi de voir le Salar en priorité à notre arrivée en janvier sur le continent, histoire de profiter des reflets magiques … mais ce n’est jamais garanti ! Je comprends que vous désiriez y retourner pour avoir l’eau ; on y retournera sans doute aussi au moins une fois 😉
Le cimetière nous a semblé être une attraction touristique vide de sens, après l’immensité du désert, et la sérénité qui s’en dégage. Trop de gens aussi, après plusieurs jours au calme …
Superbes photos ! Surtout celles réalisées dans la zone humide. J’aimerais beaucoup y retourner au moment des pluies, c’est doublement magique. C’est un endroit qui fait rêver, et j’ai l’impression de ne pas en avoir assez profité quand j’y étais ! Pour le cimetière des trains, je suis surprise qu’il y avait du monde quand vous y étiez. Je me souviens qu’il n’y avait pas un chat, juste nous et c’était un terrain de jeu rigolo !
Merci Alexandra ^^
Nous avions calculé notre itinéraire à l’époque, avec comme seule contrainte arriver au Salar avant la fin de la saison des pluies, our profiter de cet effet miroir féérique. On a eu chaud, car il n’a pas plu une goutte les jours précédents. Par chance, la nuit avant d’entrer dans le Salar, alors que nous dormions à l’hôtel de sel, une bonne pluie est tombée : sauvés !
Concernant les photos, nous avions un appareil photo nettement moins performant et aussi moins de technique et formations qu’aujourd’hui.
Oui, le cimetière des trains, surtout en comparaison avec la tranquilité du désert, c’était trop : trop touristique, trop de monde, trop sale … Et notre guide nous y conduisait tout en déplorant que cela fasse partie des tours, que ce n’est pas quelque chose de beau ou de quoi être fier. Après chacun sa logique. Mais vu l’amour de François pour les locomotives et les sites abandonnés, sûrement que nous y aurions pris plus de plaisir s’il n’y avait pas eu de monde – sans doute que la période à laquelle on visite joue beaucoup sur la fréquentation (avantages et inconvénients de visiter à la saison des pluies ou pas 😉 ).
Amandine, une mine d’info que ton blog! et très bien la réfléxion sur l’écologie 😉 Je vis au Brésil et pars en Bolivie 10 jours la semaine prochaine. J’aurais bien voulu réservé à l’avance avec ALexandra Tours car 10 c’est super court malheureusement… J’aimerais gagner le temps de combiner les détails sur place et partir de suite. Tu aurais le contact ?
Merci beaucoup! Damien
Merci Damien pour ton commentaire (qui s’était perdu : je le redécouvre aujourd’hui seulement !). Merci pour tes compliments, ils me touchent beaucoup.
Ton voyage en Bolivie est déjà fini maintenant j’imagine ; j’espère que tu as eu un bon voyage ! (Et pour répondre à ta question, je n’ai pas retrouvé les contacts de cette agence, que j’avais découverte sur place).
Bonjour! J’adore votre site, je fais bientôt le Salar et j’ai juste une petite question. Vous avez fait toutes ces étapes en 4 jours seulement?
Bonjour Anaïs, merci pour ton message et ton retour enthousiaste sur le site ! Tu ne peux pas savoir comme ça nous fait plaisir de recevoir des compliments comme celui-ci 🙂
Pour répondre à ta question : oui, nous avons fait un tour en 4 jours, en partant de Tupiza (dans le sud), en remontant dans la région du Sud Lipez, traverser le Salar le dernier jour et arriver à la ville d’Uyuni. Une très belle expérience que je recommande !
Bons préparatifs et très beau voyage à toi ! 🙂
Bonjour Amandine,
Super blog et chouettes photos qui font rêver… Je suis en train de regarder pour un itinéraire en Bolivie avec bien sur le Salar. Te souviens-tu par hasard du nom de votre agence pour le tour ? Elle avait l’air vraiment professionnelle !
Merci beaucoup, bonne continuation, et bons voyages 😉
Merci beaucoup Caroline ! 🙂
L’agence avec laquelle nous avons fait le tour : l’agence Alexandra Tours (c’est dans l’article d’ailleurs ^^).
Bons préparatifs et beau voyage.
Oups j’arrivais pas à mettre la main dessus… Merci beaucoup en tous cas
et bonne continuation
Bonjour Amandine, je reviens d’un voyage Pérou/Bolivie de 3 semaines et je tenais à te remercier, car ton article m’avait tellement fait rêver que j’ai choisi la même agence que toi Alexandro Tours. On l’a d’ailleurs fait en tour privé, car pas beaucoup de monde dans la région suite à des grèves importantes en Bolivie. C’était tout simplement MAGIQUE, nous qui aimons la nature et les grands espaces nous en avons pris plein les yeux ! Et effectivement on était tranquille sur les lieux,en arrivant souvent les premiers ! Pour info maintenant les hébergements ont tous l’électricité + prise. Encore merci et bonne continuation !
Bonjour Emma, merci pour ton commentaire 🙂
Ravie de savoir que ton voyage s’est bien passé et que tu as apprécié le tour avec la même agence (c’est toujours bien aussi pour nous d’avoir des retours par la suite, car on ne sait jamais comment les choses évoluent).
C’est sûr que nous retournerons un jour en Bolivie pour revoir le Salar d’Uyuni : ça reste à ce jour un des plus beaux endroits que nous ayons vu ! 🙂
Merci encore et au plaisir d’échanger dans de futurs commentaires 🙂
Bonjour Amandine, merci pour ton article qui nous éclaire sur beaucoup de points!
Nous allons en Bolivie fin août, et voudrions faire le tour que vous avez fait avec « Alexandra Tours », mais je ne trouve que le nom « Alejandro adventure travel » sur internet, est-ce la même agence ? Enfin, comment avez vous reservé votre tour ? Je ne trouve pas leur site..
Merci beaucoup
Bonjour Louise,
notre tout date de 2009, une époque où internet en Bolivie et dans un endroit si reculé était quelque chose de difficile à trouver. C’est donc sur place que nous avons trouvé l’agence. Il est probable qu’ils n’aient toujours pas de site web, c’était une petite agence avec 1 ou 2 véhicules seulement à l’époque.