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Un sac sur le dos Un sac sur le dos
François

Celleux qui nous suivent sur les réseaux sociaux auront vu l’annonce il y a quelques jours, nous sommes de retour en Europe, mais je vous rassure, nous allons tous·tes bien !

Pour une fois, ce n’est pas un article de réflexion ou de partage de destination écrit par Amandine, mais un article de blogging sur pourquoi nous rentrons après 3 mois et demi plutôt que 3 ans de voyage.

S’il ne s’agit pas d’une situation d’urgence, que s’est-il dès lors passé ?

Deux facteurs sont entrés en compte pour prendre cette difficile décision, après 25.000 km sur les routes américaines en un peu plus de 3 mois.

La santé

Je vous le disais plus haut, nous allons bien. Cependant, dès la 2e semaine de voyage, en me relevant trop vite dans le coffre du TARDIS, je me suis pris un grand coup qui a semble-t-il irradié dans le dos.

Depuis ce jour-là, j’ai constamment un peu mal au dos. Oh ! Rien de grave qui m’empêcherait de dormir, ou qui me ferait souffrir constamment de manière insupportable. Mais suffisamment pour être usant, surtout à rester derrière le volant pour des dizaines de milliers de kilomètres. Et pour me limiter dans ma capacité à porter Manoa.

Comme vous le savez sans doute déjà, nous sommes assuré·es pendant ce voyage par AVI International, un de nos sponsors. Et après 1 mois, j’ai donc décidé de contacter cette assurance voyage pour aller voir un·e médecin. Et là, si du côté de l’assurance AVI International je suis enchanté, du côté médical au Canada et aux USA, comme dans beaucoup d’autres pays d’ailleurs, je me confronte à un souci d’envergure : si ce n’est pas une urgence, il faut prendre rendez-vous pour les examens complémentaires à base de scanners. Au Canada, on m’a gentiment expliqué qu’en dessous de 9 mois, ça va être compliqué vu le statut non urgent de l’examen.

Vous voyez le problème venir ? Je devrais savoir dans 9 mois ou 1 an exactement où je me trouve, dans quel pays, dans quelle ville… C’est d’une part totalement incompatible avec notre type de voyage, et, d’autre part, ça implique de ne pas savoir s’il se passe quelque chose de grave que je pourrais faire empirer d’ici là…

Ou alors je dois attendre de terminer le voyage dans 3 ans et de rentrer en Belgique pour prendre le temps de passer les examens et de voir les spécialistes.

C’était néanmoins le choix que nous avions pris dans un premier temps. Et donc le voyage a continué aux USA juste après cette nouvelle.

Le TARDIS, un véhicule alien

Notre TARDIS est, sur le continent américain, à l’instar du TARDIS de Doctor Who, un véhicule alien.

Alors pour la minute culture, j’emploie alien dans le sens ancien du terme, à savoir ce qui est étranger, qui vient d’ailleurs, qui est « exotique ». Bref, on pouvait dire des monastères européens qui se faisaient attaquer par des vikings qu’ils subissaient des attaques d’aliens. Voilà, maintenant c’est à vous de vous la péter en soirée, moi c’est bon, c’est fait !

Blague à part, notre TARDIS est un modèle D40, qui existe également aux Canada et USA, et donc nous avions considéré que s’il existe, les pièces pour l’entretenir ou le réparer ne poseraient pas de soucis… C’était vrai à un détail près : nous avons un modèle diesel, et cette version n’existe tout simplement pas sur les continents américains.

Ca n’a l’air de rien comme ça, mais essayer de trouver un filtre à diesel, des bougies pour un moteur diesel… pour quelque chose qui n’existe pas ici. Au début on s’en sortait quand même mais c’est vite devenu infernal !

Le TARDIS a 12 ans déjà, et aujourd’hui il affiche 265.000 km au compteur. Est-ce qu’il est en trop mauvais état, parce que trop vieux ? Non, il roule comme un charme, d’ailleurs rouler 25.000 km en moins de 4 mois, sur des routes de tout type imaginable, je pense que c’est la meilleure façon de vous convaincre qu’il est largement prêt pour continuer l’aventure.

Ce genre de pick-up 4X4 est construit avec des pièces plus proche des camions que des voitures, il pourra encore rouler plus de 200.000 km sans sourciller !

Et pour ce qui est de l’équipement Front Runner (second sponsor : c’est la société qui nous a fourni la galerie de toit, la tente de toit, le auvent, le tiroir de coffre, les caisses de rangement, les chaises…), installé avec soin par Desert Foxx (que je vous recommande chaudement pour tout ce qui est installation et équipement off-road)… Autant vous dire qu’il est tellement bon que je ne suis pas sur que les prochains 200.000 du TARDIS suffiront à venir à bout de ce matos incroyable. En fait je suis même convaincu que non !

Mais, si tous les filtres, si toutes les réparations et tous les entretiens ont bien été faits dans les règles de l’art avant le départ, il n’empêche qu’au bout de 25.000 km en 3 mois, soit l’équivalent de ce qu’une personne roule en moyenne en Europe au bout de 2 ans, il faut faire des entretiens.

Chez le concessionnaire, les outils de diagnostics ne reconnaissent pas la voiture, car il est conçu pour les voitures de la marques produites sur le continent nord américain uniquement. Et aussi un concessionnaire a cette fâcheuse mais compréhensible tendance à ne réparer les voiture qu’avec des pièces officielles qui n’existent pas ici.

Notre salvation, pour les filtres à huile, à pollen, à air et à diesel, ça a été les magasins NAPA et O’Relly qui vendent de pièces génériques de marques alternatives.

L’aventure filtre à diesel

Le filtre à diesel par contre c’était quand même loupé, car cette pièce n’existe dans aucune autre voiture ici, et donc aucun intérêt commercial à avoir cette pièce. Il a fallu la commander sur eBay chez un particulier américain qui vendait justement un exemplaire original de cette pièce, et en neuf. Heureusement, malgré un retard du service postal, nous avions envoyé la pièce suffisamment loin dans notre itinéraire pour la récupérer le jour exact où elle est arrivée à destination.

Mais voilà, ça a marché une fois, on a eu de la chance niveau timing et de tomber sur LA personne qui avait LA pièce qu’il nous fallait et qui n’avait a priori aucune raison de l’avoir.

Et puis il a fallu changer le filtre à air…

L’aventure filtre à air

Ce filtre est utilisé dans un autre véhicule, mais qui semble très rare, ce qui fait qu’en magasin (NAPA et O’Reilly), on me dit qu’il faut le faire venir depuis l’autre bout des USA. Bon, je me dis que c’est pas grave, je verrai sur leurs site web pour ma la faire livrer… ou pas.

On me dit de téléphoner au magasin car la pièce ne peut pas être envoyée par un achat en ligne. Alors j’appelle les magasins précédents, qui me disent qu’ils peuvent avoir la pièce pour dans 4 jours. Mais comme j’ai autre chose à faire que d’attendre 4 jours pour une pièce, je me dis que je vais appeler les magasins plus loin dans l’itinéraire pour qu’ils commandent ma pièce et que je la récupère au passage comme pour le filtre diesel.

Ah, mais ils ne veulent pas commander la pièce si je ne la paie pas avant. Mais pour ça faut payer sur place uniquement, et n’acceptent pas de prélever l’argent sur une carte de crédit que je pourrais leur communiquer par téléphone. Bref, je suis bon pour arriver chez elleux, commander la pièce, et attendre 8 jours, la situation n’est pas meilleure !

Alors nous avons commandé la pièce et fait un mini road trip de quelques jours sur la Route 66 au Nouveau-Mexique pour revenir sur nos pas récupérer la pièce.

Et quand je déballe la pièce, le filtre a une allure différente de celui du TARDIS, un peu moins épais, même largeur, mais 8mm plus long ! En forçant un peu, le filtre rentre, et tout est bien étanche, on démarre direction Monument Valley puis Kanab.

Le premier jour tout se passe bien, je décide en fin de journée de jeter l’ancien filtre qui est crasseux au possible.

Le lendemain, la voiture commence soudainement sur la route vers Kanab, à perdre de la puissance et une épaisse fumée noire apparait à l’arrière de la voiture… Je me mets sur le côté, coupe le moteur, le redémarre, tout semble en ordre, plus de fumée noire à déclarer, mais la voiture semble un plus « molle » dans les montées.

En arrivant à Kanab, je comprends que la compression, même infime, du filtre, fait que moins d’air passe entre les lamelles de papier du filtre, et essaie de comprendre pourquoi ce nouveau filtre n’est pas à la bonne taille.

Après des recherches sur le net, je découvre que le D40 européen est construit parfois en Espagne, parfois en Thaïlande, et qu’il existe de minuscules différences entre ces 2 versions, comme ici la taille du filtre.

Et c’est reparti pour commander avec une autre référence, celle du modèle espagnol, le filtre… qui arrivera cette fois-ci dans 8 jours…

C’est ainsi que nous avons participé 2 jours à la loterie à Kanab pour The Wave, que nous n’avons pas gagné, que nous sommes allé·es au Parc de Zion, qu’on y est resté·es 4 jours, et que nous sommes revenu·es à Kanab, que nous avons encore participé à la loterie et que cette fois nous avons gagné et pu aller admirer, avec nos permis fraichement reçus, cet endroit incroyable qu’est The Wave.

Et cette fois, le filtre à air ressemblait bien au premier filtre que j’ai changé, et rentre parfaitement dans son emplacement ! Bonne nouvelle.

Démarrage aléatoire

Mais à peine le problème de filtre résolu, un nouveau surgit, la sécurité anti démarrage de la voiture commence à apparaitre de plus en plus souvent. Au début ça arrivait une fois tous les 2-3 jours, puis une fois par jour, puis à chaque démarrage…

Je finissais toujours par démarrer le moteur, parfois au bout de 10 minutes. Au début je suspectais la pile de la clé de la voiture qui devait être en fin de vie. Mais non, rien à voir. Le moteur se mettait en mode sécurité, pour une raison inconnue.

Et hop, au garage, ou seuls les codes de l’ODB les plus basiques s’affichent ! Même si on n’a pas accès au diagnostique complet, on a quand même accès à certains codes génériques. Et c’est apparemment, un souci avec le débitmètre d’air qui déconne. Le garage retire la pièce, la nettoie et la remet, la voiture démarre normalement. Ouf ! Parce que cette pièce est à nouveau pas facilement trouvable dans le coin.

Mais 2 jours plus tard, en arrivant à Surprise en Arizona chez une amie d’Amandine, les soucis réapparaissent.

Pour l’anecdote, dans les parkings, aires de repos etc, je laissais le moteur tourner, par peur de ne pas pouvoir redémarrer. J’ai considéré que même si la clé était sur le contact et que les portes n’étaient pas fermées, il n’y avait que trop peu de risques de vol vu que c’était une voiture… manuelle ! Oh et puis, voler une voiture avec un tel look et une plaque belge, de mon point de vue, il faudrait ne pas être très futé·e.

La décision

Cette fois, nous prenons la décision en nous rendant compte que nous risquons d’errer des jours, des semaines, ou des mois avec ce genre de soucis, qu’une fois passé l’Amérique du nord, trouver les filtres ne sera plus aussi « simple » qu’ici, et que si par exemple, il faut remplacer les bougies du moteur diesel depuis le fin fond du Guatemala, on va bien s’amuser à attendre des semaines pour importer de telles pièces.

Bref, nous avons réfléchi les quelques jours passés chez l’amie d’Amandine, et la décision que nous avons prise a été de ramener le TARDIS en Europe. Et reprendre le voyage dans quelques mois, car l’aller-retour en cargo, sans même compter le temps de réparation, prendra au minimum 2 mois, et nous ramènerait au mieux en plein automne, au pire en hiver pour terminer de visiter les grands parcs des USA… qui ferment pour la plupart en hiver.

La traversée depuis l’Arizona jusqu’à la côte Est (Baltimore), 3.500 km, a été faite en 3 jours. Comme quoi TARDIS ne va pas si mal !

Donc plutôt qu’une course contre la montre face aux saisons, nous voyagerons quelques weekends en Europe avec le TARDIS, et nous reprendrons le voyage au début de l’été prochain ! Cela me permettra aussi de prendre le temps de mieux chercher ce qui ne va pas avec mon dos.

Nous sommes également en pleine réflexion sur notre projet. Ici nous savions que ce serait impossible d’aller dans les écoles pendant les vacances scolaires, nous l’avions donc mis de côté pour ces premiers mois, le temps aussi de trouver notre rythme de croisière automobile. Mais nous vous reparleront plus tard, le temps d’y réfléchir et aussi parce que ce ne n’est pas le sujet de ce post. 🙂

Voilà, vous savez tout maintenant. Un souci de santé a priori pas grave, mais nécessitant des examens approfondis, et un moteur diesel inconnu sur les continents américains, ont eu raison de notre retour prématuré en Europe.

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13 réponses à “Retour prématuré en Europe”

  1. Et ben ma pauvre cocotte c’est sûr que l’on a beau en France toujours se plaindre des systèmes de soin, tant que l’on n’a pas été confronté avec certains pays !!! Vous avez bien fait la santé avant tout. Je pense que si ça c’était produit en Thaïlande cela aurait été le contraire, ils sont très performants et rapides là bas. En tous cas bon retour en Belgique avec ton petit bout de chou, gros bisous à toute la famille. Toujours aussi top le blog 🙂

  2. Bon retour en Europe. Je crois que je n’ai jamais autant lu de détails mécaniques en une seul fois, bravo pour cet exploit 😉
    En vous souhaitant de vite et bien reprendre vos projets.

    • Bonjour Tiphanya,

      En vrai j’ai énormément simplifié, et je vous ai passé l’aventure du filtre à huile, qui existait aussi en 2 références mais comme les 2 étaient en stock partout, j’ai acheté les 2, puis une fois le bon installé, ramené en magasin l’autre et gardé la référence de la bonne version pour la prochaine fois !

      Pour la suite, j’explique le choix difficile à prendre et qui mérite réflexion plus approfondie dans ma réponse à Claire, juste en dessous de ton commentaire. 🙂

  3. Il faut savoir prendre des décisions pas évidentes parfois, mais c’est juste une pause !
    Vous allez donc repartir avec une autre voiture qui sera plus « simple » à réparer en cas de soucis ?

    • Bonjour Claire,

      difficile à dire pour l’avenir du TARDIS. Entre démonter tout le matériel fixé et adapté dessus, qu’il faudrait remonter tant bien que mal d’un autre côté, le fait de chercher un autre véhicule, vendre celui-ci… ou remplacer préventivement quelques pièces comme les bougies, et prendre avec soi 5 à 10 exemplaire de chaque filtres, on va devoir réfléchir à tout ça tranquillement dans les mois qui viennent !

  4. Bon retour! Avec quel véhicule pensez-vous repartir l’été prochain? Je suppose que vous n’allez pas reprendre le TARDIS pour éviter les même soucis?

    • Bonjour Laurène,

      Question qui a l’air simple à la réponse plus complexe qu’on ne s’imagine, j’y réponds partiellement à Claire un peu plus haut dans les commentaires.

  5. Ah zut alors ! Je risque à nouveau de te croiser au boulot !! Pfff.

    Plus sérieusement, c’est bien dommage et comme toujours ça arrive bêtement mais ta santé (et celle d’Amandine et du bébé) doit rester prioritaire.

    C’est intéressant de noter aussi ce problème de pièces détachées. Dans ce genre d’aventure, il faut y penser dès la préparation du voyage en choisissant le véhicule.

    Bon rétablissement.

    • Merci Eric 🙂

      Oui et le coup des pièces, on y avait pourtant pensé, mais le coup de la version inexistante du modèle, c’est là qu’on s’est fait·es avoir !

      Sans doute à bientôt !

  6. Salut !

    je vous suis depuis plusieurs années maintenant dans vos péripéties à 2 puis à 3 😉

    Là je ne comprends pas très bien : tous ces points sautent plus aux yeux comme des excuses pour rentrer, plutôt que de vrais problèmes qui empêchent d’avancer. Comment est-ce possible que vous n’ayez pas pensé au modèle du véhicule introuvable ? des voyageurs comme vous! Pourquoi ne pas changer de véhicule, adapter le road-trip sous un autre angle ? tout est possible!

    Pour les problèmes de dos, tu sais mieux que moi qu’il existe plein de solutions : faire l’examen au Canada en temps voulu, rentrer en Europe se faire soigner et repartir, changer l’itinéraire pour faire moins de bornes, etc etc!

    Bref, je pense pas que ce soit un filtre à air ou des bougies qui vous ramènent en Europe, si vous voyez ce que je veux dire.. 😉

    Bon courage pour la suite!

    • Bonjour Fred,

      Je trouve ton message et son sous-entendu assez déplacé. Dans cet article, je fais un résumé et dès lors certains points peuvent sembler logiques pour toi une fois qu’ils sont devant toi.

      La réalité c’est que tu n’as pas le contexte, celui où l’on s’est battu·es pendant les 6 mois avant le départ pour préparer ce projet, tout en ayant l’inconnue de si on pourrait partir à cause de soucis de santé de Manoa, que jusqu’à la veille de déposer la voiture à Anvers pour le bateau, nous n’avions pas les résultats des derniers examens passés à l’hôpital 4 jours avant et qui allaient répondre si oui ou non nous pouvions « risquer » de partir.

      Nous n’y connaissons rien en voiture, nous n’y connaissons rien à la réalité du continent nord américain sur le sujet. Nous avons vu que le modèle existe, et que le diesel se vend en station service. Ca nous a semblé suffisant pour avancer dans cette voie.

      As-tu la moindre idée de ce que c’est de préparer un projet de vie normale de 3 ans pendant des mois sans savoir si celui-ci va aboutir ? Dans un mode de voyage que tu n’as jamais pu même tester une seule fois ? Encore moins avec un bébé à cause de son problème de santé ? La moindre idée de ce que c’est de devoir prendre des décisions à la va vite car la deadline du début de la saison d’été approche ? Avec des choix qui impliquent des milliers voire des dizaines de milliers d’euros ? Le tout en cherchant des sponsors, des aides, de monter un projet, de communiquer tant bien que mal dessus en sachant pas si celui-ci pourra se réaliser ? As-tu la moindre idée de préparer un tel projet avec un projet en parallèle de 2 mois au Japon et qui met toute cette préparation en pause ? Tu crois que c’est juste un passeport à avoir un tel voyage ? Qu’il ne faut pas trouver des solutions pour une assurance pour une voiture étrangère dans les premiers pays visités ? Tu as téléphoné à la douane Canadienne pour qu’ils te disent que tu ne peux pas immatriculer un véhicule de moins de 15 ans comme la notre parce que c’est considéré comme importation et c’est interdit ? Que dès lors notre voiture ne peux pas rester sur le contiennent nord-américain et encore moins être vendue pour récupérer l’argent et acheter un autre véhicule sur place ?

      Tu veux que je continue la liste ?

      Et pour ce qui est du dos, soit mon article n’est pas clair, soit tu n’as pas compris où se situe le souci quand je vois ta réponse.

      Me sortir que tu nous suis depuis des années mais n’avoir jamais entendu parler de toi, et maintenant d’avoir comme seul et unique commentaire de ta part un message qui dit que « tu crois que » nous étonne !

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