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Un sac sur le dos Un sac sur le dos
François

Lorsque l’on est de retour de voyage, il arrive fréquemment qu’une dépression s’installe… Quelles en sont les raisons et, surtout, quelles solutions apporter à ce « syndrome postreturnum » ?

François vous répond avec humour pour que cette maladie incomprise ne fasse plus autant de ravages !

À chaque stade sa folie !

Le voyageur traverse bien des épreuves émotionnelles : après le syndrome prédepartum, frappant juste avant un grand départ en voyage, voici le syndrome de dépression postreturnum !

La dépression du retour de voyage

Après 6 mois de voyage en Amérique latine pour notre projet Back to America, changement de programme : nous voici de retour en Europe.

Or rentrer, quitter le mouvement et renoncer à l’appel de la route… cela ne se fait pas sans douleur ! À côté des joies de retrouver ses proches, une douche chaude et une bonne connexion à internet, le voyageur de retour résiste difficilement aux affres de la déprime postvoyage !

Grâce à cette vidéo, vous saurez tout ce qu’il y a à savoir sur la dépression post-returnum :

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Remerciements

Un tout grand merci aux blogueurs-voyageurs-youtubeurs, tout aussi fous que nous, qui ont répondu à notre appel et participé à cette vidéo !

Voici les sites et chaînes YouTube des invités de cette vidéo :

Pour aller plus loin…

Avez-vous déjà vécu la dépression postreturnum ? Vous êtes-vous reconnus dans certains de ces signes et solutions de guérison ? Et en connaissez-vous d’autres ? N’hésitez pas à les partager dans les commentaires !

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37 réponses à “Vidéo 18 : La dépression de retour de voyage”

  1. Excellent ! et la partie des autres blogueurs dépressifs est parfaite !
    Vous m’avez bien fait rire, mais mine de rien ce que vous dites, c’est vrai dans le fond, le retour c’est dur, on ne veut voir personne, mais en même temps si, on est perdus, on ne sait plus quoi faire… Bref un sujet pas drôle traité avec humour !

    • Merci Gaelle pour ton retour : ravie que la vidéo te plaise ! 😀 On y a beaucoup travaillé ces 2 dernières semaines, dans le script, l’écriture des textes, le tournage, le montage, la coordination, la recherche de perruques (!)… Bref, on est vraiment contents qu’elle fasse rire d’autres voyageurs (et pas que nous ! ^^).

      Oui, le retour, même si c’est souvent banalisé et même si on en parle ici avec légèreté, c’est un moment très difficile (sans doute un des plus difficiles d’ailleurs) pour le voyageur. Comme je le dis dans l’article, j’en parlerai plus sérieusement (toujours avec ma double casquette de voyageuse et de psychologue) dans un prochain article.

  2. C’est bien fait la video! Elle m’a fait rigoler 🙂 Moi j’ai plutôt l’inverse… Avant de partir je suis tellement occupé à faire la recherche de ce que je vais visiter que j’ai plutôt le syndrome pre-discessum

    • Merci pour ton message Stefaan 🙂 Plutôt touché par le « syndrome prédepartum » que le « syndrome dépression post-returnum » ?
      Tu as de la chance… Nous, c’est les deux ! 😀

      En tout cas, on est super content que la vidéo t’ait amusé ; merci de nous suivre avec tant d’enthousiasme et de partager toujours sur les réseaux sociaux, cela nous touche beaucoup 🙂 🙂 🙂

  3. Je veux bien rejoindre le collectif ahahah :p
    Et sinon plus sérieusement, perso’, ça me touche à chaque fois que je fais un voyage qui me dépayse beaucoup. Genre là, le retour de Corse, c’était dur de se remettre dans le bain, pour le voyage vécu, mais aussi et surtout pour les rencontres et le fait d’avoir passé une semaine à ne faire que des choses géniales avec des gens géniaux, bref que du génial !! 🙂

    • Ça ne m’étonne pas Malicyel 😀

      Les rencontres sont pour beaucoup dans l’intensité d’un voyage et la difficulté à partir, quitter et rentrer… J’en parle d’ailleurs dans mon article sorti il y a quelques jours « Les pays où j’ai pleuré en partant » (sans le faire exprès, je suis restée dans des thématiques très proches ! Faut croire que c’est la semaine larmes et déprime ^^ :p ).

  4. Ahahaha superbe vidéo !!! Vous m’avez fait bien rire 😀 A chacun ses remèdes pour survivre au retour des longs voyages. Pour moi, c’est de retrouver le plus rapidement le syndrome prédepartum !

    • Merci Jonathan 😀 Tu résumes tout avec ton commentaire : c’est totalement ça ! Skipper l’étape du « post-returnum » pour arriver au « prédepartum » ! 😀 Bon, après, il faut pouvoir parfois se poser, faire son deuil du voyage passé et ne pas s’enfoncer dans un cycle de fuite en avant (comme une relation amoureuse où l’on passerait d’une histoire à l’autre sans prendre le temps de faire le point)… mais après, ça devient un peu trop sérieux comme analyse… Donc hors sujet via le ton de la vidé ! 😉

    • Un tout grand merci Jean-Jacques pour ce message plein d’enthousiasme ! Ravis de savoir que la vidéo plait, car elle nous a demandé un certain investissement (matériel et temps) et pas mal de travail (le plus difficile étant sans doute de réussir à stopper mes fous rires lors du tournage !) 🙂

  5. Je suis actuellement dans cette phase de dépression de retour alors merci de m’avoir fait rire (surtout le coup de vouloir rester dans le tram)! Personnellement, c’est aussi un manque total de motivation comme si elle n’avait pas pris l’avion avec moi pour le retour. Je trouve aussi difficile de se refaire une place dans le quotidien de son entourage. Good luck pour la suite ^^

    • Courage Ines ! Le manque de motivation, c’est aussi un de mes troubles principaux lors des retours : plus motivée, plus rien n’a de sens… Le mieux, c’est de se retrouver de nouveaux projets, de trouver comment donner du sens à sa vie.
      Et oui, l’entourage qui te voit rentré pense souvent que « maintenant c’est fini de gambader, retour enfin à la « vraie vie », au boulot… ». Bref, de quoi me déprimer plus encore ! Les mots ne suffisent pas pour nommer ce décalage total de perception et de vécu qui peut se produire au moment du retour. Passager ou permanent, à nous de trouver comment le surmonter, avec créativité et sa personnalité. … Courage !

      Pour nous, ce n’est pas qu’un « mini-retour » car nous repartons demain et les projets s’enchaînent jusque fin octobre : bref, pas encore de grosse dépression de retour de voyage pour le moment ! 😉

  6. Bravo ! Orginale comme vidéo. J’avais dans le projet aussi d’en faire une mais la votre est pas mal réussie 🙂

    La mise en scène et les infos sont top. Bravo, la classe les aventuriers.

    Tu es sur que l’accent belge n’existe pas, une fois ? 🙂

    • Merci Kevin ! La vidéo est loin d’être parfaite (nous on voit plein de petits détails qu’on aurait aimé encore peaufiner et de choses qu’on aurait aimé améliorer)… mais il y a un moment où il faut se lancer, tant pis si ce n’est pas parfait (et puis, la perfection n’est pas de ce monde ! 😉 ).

      Les vidéos podcast sont un vrai travail d’équipe : c’est surtout François l’acteur (moi je suis moins à l’aise devant la caméra… et en plus en je pars en fous rires tout le temps ! ), mais j’élabore le script et le scénario, j’écris les textes et dialogues, je fais la mise en scène… avec le regard ensuite de François qui propose ses idées d’amélioration. Bref, on travaille encore plus en équipe pour les vidéos podcast que pour les articles ! Une chouette aventure en tout cas 🙂 On commence à prendre nos marques avec ce format de vidéo… et on a encore plein d’idées pour la suite 😉

      Et non, on confirme : l’accent belge n’existe pas ! Pour finir de te convaincre, va jeter un oeil à notre première vidéo podcast 😉

    • Coucou Julie,
      ça nous est arrivé : après le premier grand voyage en Amérique du Sud (il y a 6 ans), je m’étais amusée à sélectionner les photos, les faire imprimer et les coller dans des albums (je préfère les albums à l’ancienne, avec la photo collée sur une feuille… ^^) et par la suite, je l’ai encore fait à l’une ou l’autre reprise…

      Mais cela fait des années que je n’ai plus rien imprimé (après notre second voyage au Pérou, il y a 3 ans).
      Plus le temps, plus la motivation… et surtout trop de photos ! Mes tiroirs débordent déjà d’albums, je ne sais pas comment je pourrais en stocker d’autres ! Mais j’y pense…

      Un jour peut-être je prendrai mon courage à deux mains et je me ferais une méga-compilation de quelques photos qui représentent des moments forts de ces dernières années de voyage. Un jour ! 🙂

    • Ah ah ! Merci Lydia pour ton message ! Oui, on est de grands malades 😉 :p

      Pour le collectif, je t’ajoute à la liste alors ? 😉 Aussi passé par le syndrome post-returnum ?

      • Oui, ouiiii, inscris moi au collectif!!! Ah, je n’y suis pas seulement « passée » par ce syndrome: je suis encore en plein dedans!!!
        2 ans après le retour, ça vous rassure, hein? hihi 🙂

    • Tout dépend Paul ! Oui, rentrer est (ou peut-être) très positif : retrouver son « chez-soi », ses proches, ses amis…
      Mais cela peut aussi être très douloureux : quitter une vie nomade, retrouver une routine pesante, changer drastiquement de rythme de vie…

      Beaucoup de voyageurs éprouvent un véritable choc en rentrant de voyage (peu importe la durée (même si les retours de voyage au long cours sont plus sensibles) ou la distance effectuée pour ce voyage, ni l’expérience du voyageur).

      Nous en parlons ici avec humour, mais je reprendrai prochainement ce sujet dans un article plus sérieux, car cette époque de transition peut être très difficile à vivre. Or, déjà savoir que l’on n’est pas le seul à éprouver ce genre de difficulté, cela fait du bien ; et ensuite, il existe des pistes prou prévenir cette dépression et d’autres pour agir en conséquence… Mais j’en reparlerai 🙂

  7. Ici, je me suis dit : non, non, ça le fera pas… cette mélancolie post-voyage, beurk.

    J’ai donc pris un moment pour réfléchir à la vie que je désirais ici et comment y intégrer le voyage sans que celui-ci ne devienne un événement attendu de tous les instants et que le retour ne continue à être synonyme de déprime. Ça a passé par une remise en question de mes valeurs et une réorganisation de vie, beaucoup de projets captivants, passionnants… tout ça fait que maintenant, j’ai littéralement autant hâte du départ que du retour, une fois rendue là ! Ma vie en voyage n’est que la prolongation de ma vie «entre-deux-voyage», qui elle aussi, me semble intense, passionnante et me comble. Le voyage n’est plus une parenthèse, ni un moment d’arrêt, et quand je reviens je ne dis plus «retour à la réalité», car ma réalité me suis. Bref, je l’explique peut-être mal…

    Ça n’a pas toujours été comme ça. Et je ne prends pas cette façon de le voir comme acquise, car je sais très bien que de façon imprévue, les choses pourraient changer, me surprendre lors du prochain retour. Un retour à la fois, donc 😉 Mais j’avoue être bien heureuse de ce changement dans la façon de le vivre, pour le moment.

    • Merci Bianca pour ton message et le partage de ta réflexion. Très intéressant !
      Et quel beau changement de vie pour arriver à ce sentiment de bien être tant avec l’idée du départ que du retour ! Un rêve encore pour beaucoup d’entre nous (dont moi, j’y pense j’y pense…).
      Félicitations 🙂

  8. Oh! et la vidéo, très drôle et amusante, vraiment trop bien 🙂

    « Le chat a bouffé le canari » = HAHA!

    Amandine les cheveux roses = pas mal 😉

    Belle participation des autres blogueurs, j’ai beaucoup apprécié !

    • Ah ah, merci ! 😀 Ravie que la vidéo t’ait amusée… et que ma perruque te plaise 😉
      Et oui, encore merci à tous ces blogueurs-youtubeurs-voyageurs qui se sont prêtés au jeu ^^

  9. Hey les voyageurs ! Je peux vous aider !!! Non j’déconne ^^

    Plus sérieusement, il y a quelques mois, j’avais écrit ceci à l’un des blogueurs « dépressifs » présents dans votre vidéo : « Parce qu’il y a des gens qui ont su me toucher, de différentes façons, que j’aime <3 (oui... j’adore mettre des coeurs lorsque c’est sincère et profond). Certains ont su conserver leur âme d’enfant... D’autres me donnent le sourire dans les moments de doutes... Tous me font rêver et me donnent l’envie de croire qu’il est encore possible de se surpasser et qu’il n’y a pas d’âge pour réaliser ses rêves...

    Je n’ai pas fait de TDM mais ces symptômes me sont bien familiers. Mon voyage prend forme... Chaque jour... Lentement... Très lentement...

    Alors en attendant l’ouverture des inscriptions pour ce collectif, je vais continuer de savourer vos divers blogs et vous dire à tous.... MERCI !!!! Bravo pour votre vidéo 😉

    Soyez fous ! Soyeux heureux !
    Dépréssivement... Non, amicalement... ! 😉

  10. Je viens de découvrir votre blog est, franchement, j’adore ! Vos vidéos sont trop sympa et elles mettent de bonne humeur ! Moi qui pensais être la seule à déprimer au retour de voyage en ayant l’impression que rien ne bouger plus, je suis rassurée et excitée de repartir. Merci beaucoup pour la vidéo !

    • Merci pour ton message 🙂
      Et non : nous ne sommes pas seuls à souffrir du retour ! On en parle peu, on souffre chacun dans son coin, mais nous avons tous laissé un bout de notre âme et de notre cœur à différents endroits du globe…
      Au plaisir d’échanger encore dans les commentaires, belle continuation à toi 🙂

  11. J’adoooooore ! J’ai tellement rigolé, vous êtes magiques ! J’ai adoré la scène du métro : le voyage au quotidien ! C’est vrai que j’aime bien me balader en bus… C’est grave docteur ?

  12. Moi qui croyait avoir une grippe… fiévreuse puis gelée.courbature lassitude… et puis l’article ci-dessous résume bien !
    Cette déprime se traduit par des symptômes physiques tels que la fatigue, le manque d’appétit, les difficultés à se concentrer, la somnolence, l’insomnie, un rythme cardiaque anormalement rapide ou encore des douleurs musculaires diverses.

    Au niveau psychologique, l’ex-vacancier pourra se sentir irritable, anxieux, triste…

    Un sentiment de vide et une attitude « je-m’en-foutiste » sont également des phénomènes courants mais heureusement passagers après le retour des … ». Mais évidemment rentrer d’un long périple pour retrouver chômage (ben oui on peut être précaire et avoir droit de s’evader !) embouteillage et pollution ça n’aide pas. Par contre ce qui m’aide pour l’instant c’est mettre un concept sur mon état général.
    Grippe. Oui pas le choix ! Depression : Non pas question !

    • Merci Claire pour ton message et partage de vécu : oui, le retour de voyage c’est un moment difficile pour beaucoup de voyageurs… Et mieux vaut en rire 😉 Non, plus sérieusement, cela peut être vraiment très difficile pour plein de raisons différentes : une page à tourner, un chapitre de sa vie à clore, la « fin d’une vie très libre », le retour à une vie qui ne plait peut être pas, le rythme de vie différent, la dynamique sociale différente, les projets à reprendre, les proches qui ont poursuivit leur vie et qui parfois ne s’intéressent pas vraiment au voyage vécu… Bref, les raisons sont multiples !

      J’écrirai plus sérieusement sur ce « syndrome de la dépression de retour de voyage / post-returnum » (je l’ai suffisamment promis !) car je pense que c’est un sujet qui mérite d’être pris (aussi) au sérieux.
      J’ai envie de te dire courage, la vie continue : le plus dur, c’est de se reconnecter à ce mouvement de la vie, s’inscrire dans un projet moyen)long terme, avoir le regard enrichis de ses expériences sans sombrer dans l’amertume du manque… Un vrai défi.

      Bon retour à toi et au plaisir d’échanger encore dans de futurs commentaires sur le blog 🙂

  13. Tout d’abord j’adore votre site et vos vidéos me font bien rire.
    En ce qui concerne le syndrome post-returnum je l’ai vécu un peu différemment. Après 14 mois de voyage solo, j’étais contente de rentrer, de retrouver les amis, la famille, le confort, ma chambre et mon placard surtout. Et puis j’ai eu la chance de trouver un boulot assez facilement, je n’ai même pas eu à refaire mon CV puisque j’ai trouvé un poste dans l’entreprise que j’avais quitté. Et comme j’ai eu la confirmation un bon mois avant la reprise, j’ai pu repartir 15 jours en voyage : en somme un retour tout en douceur. Et puis la vie s’est enchainé, les mois ont défilé… Et puis à Noël je suis reparti 10 jours en voyages et voilà qu’après 8 mois je commence à faire ma dépression de retour. Heureusement j’essaie de me remonter le moral en pensant à mon roadtrip de l’été prochain mais ça me parait tellement loin. C’est grave docteur ?

    • Bonjour Elo, merci beaucoup pour le compliment ! 🙂

      Et merci pour ton retour d’expérience. Cela fait longtemps que j’ai le projet d’écrire plus sérieusement sur le retour de voyage, avec tout ce que cela peut impliquer au niveau émotionnel, adaptation, reprise de certaines marques et difficultés avec d’autres, rythmes et phases particuliers…
      L’article est en préparation, j’espère avoir un peu plus de temps pour m’y pencher au retour du Canada (fin février).
      De manière générale, j’aime beaucoup écrire sur la psychologie du voyageur et accompagner ceux qui le souhaitent (je suis coach de vie, comme je l’explique un peu dans l’article « La thérapie par le voyage »).

      Avoir ce blues « en décalé » est, je pense, beaucoup plus fréquent qu’il n’y paraît ! Pour moi, l’effet d’un grand voyage peut se faire sentir des mois après un retour. Et en soi, les émotions ne sont jamais « graves » : ce sont des signaux à accueillir pour nous aider à donner un cap à notre vie qui nous correspond et nous permet de nous sentir bien, de chercher un chemin vers l’épanouissement personnel… dont le voyage peut-être une composante 😉

      Bon courage pour cette phase post-returnum et bons préparatifs pour ton prochain voyage ! 🙂

      • J’attends l’article avec impatience et sinon bienvenu au Canada, j’ai vu sur Instagram que vous êtes en stopover en Islande, je suppose que vous serez bientôt à Montréal, alors au plaisir de peut-être vous voir.

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